Une saison printanière qui fait son retour et pas que. Kang Daniel en a profité pour renouer avec l’Europe à travers l’ACT Tour, enflammant les scènes de Hambourg et Paris notamment, où la DL Team était invitée. Deux ans après son dernier passage, entre chorégraphies électrisantes, confidences et l’annonce d’un nouveau chapitre artistique, KD a bel et bien confirmé ce qu’il avançait à notre co-éditrice-en-chef, Demona Lauren, dans une récente interview exclusive : il est bel et bien de retour.


Hambourg : une Première, des Promesses
Pour sa toute première venue à Hambourg, Kang Daniel investit la scène du Grosse Freiheit avec “Losing Myself”, ouvrant la soirée sur une note résolument rock et énergique. Vêtu d’un costume noir scintillant et légèrement cintré, il infuse des airs d’artiste soul qui se produit dans une salle indépendante d’un quartier littéraire.
La setlist, soigneusement pensée, alterne mélodies addictives à la “Paranoia”, “Wasteland”, “Antidote” et ballades plus émouvantes avec “Come Back to Me”, “Nirvana”. Plusieurs titres, réarrangés spécialement pour la tournée, offrent au public de l’inédit et un nouveau regard sur des titres qui les ont déjà conquis, apportant toujours un peu plus d’exclusivité à cette tournée européenne.





Entre chaque morceau, Daniel brise la distance par des échanges sincères et des anecdotes spontanées. Il confie ses doutes quant à l’accueil du public hambourgeois, vite dissipés par une ferveur palpable. L’atmosphère, à la fois cozy et bon enfant, atteint son apogée lors de l’encore, avec “9 Lives” et “The Story”, repris en chœur par un public qui se languissait de le retrouver sur le vieux continent.


Paris : KD, le Vrai, Mais Plus Mature
À l’Elysée Montmartre, salle mythique de la capitale, Kang Daniel retrouve son public parisien avec une mise en scène sobre et minimaliste mais d’une efficacité redoutable. L’ouverture sur “Losing Myself” plonge la salle dans des jeux de lumière dynamiques pour ouvrir le bal et enfin dévoiler une toute autre facette de sa setlist.

La setlist navigue entre sensualité sur “Touchin’”, “Color”, intensité viscérale avec “Paranoia”, “SOS” et moments d’émotion chaotique avec “Mess”, son dernier single en date et “Antidote”. Ce qui distingue le jeune homme se confirme. Celui-ci ne peut s’empêcher, timidement, de partager des anecdotes sur ses balades parisiennes, confidences sur ses doutes et sa gratitude, échanges complices sur la langue française… Kang Daniel est l’artiste et le livre ouvert au sein d’un même corps et esprit.



Le chanteur se montre particulièrement attentif, adaptant sa setlist et offrant même une version a cappella de “Who U Are” à la demande du public. Tout au long du concert, sa voix reste stable, même lors des chorégraphies les plus exigeantes. Les VCR sont oniriques. C’est avec “Mess”, intégrée spécialement pour Paris, et un final où Daniel, entouré de peluches Ratatouille, remercie son public dans un dernier élan de tendresse, que le concert se termine finalement. Mais KD a également fait une promesse…
Déjà de retour avec « Glow to Haze »
Au cœur de cette soirée parisienne, Kang Daniel a levé le voile sur son prochain mini-album, « Glow to Haze », prévu pour le 16 juin. Ce projet, qui marie les contraires – « Glow » pour l’éclat, « Haze » pour la brume – s’annonce comme une exploration poétique de certaines thématiques. La couleur rose, fil conducteur de l’album, évoque à la fois douceur et rêve. Songe ou réalité ?


À l’aube de « Glow to Haze », une certitude s’impose : Kang Daniel est prêt à ouvrir un nouveau chapitre, comme il nous l’avait dit. L’histoire continue, mais l’Homme, caractérisé par une sensibilité artistique à fleur de peau, est-il si différent ?
Coordination et contenu médiatique : Demona Lauren
Photographie Hambourg : Martinaiden Demaj, DL Team
Photographie Paris : Xue, DL Team
